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Sortie à Bondy (X/2012)

Article du 26 octobre 2012, publié par PO (modifié le 26 octobre 2012 et consulté 297 fois).

Le lundi 8 octobre, la classe de 4e1 est partie en sortie à Bondy. Nous sommes allés participer à deux ateliers, l’un sur le Sénégal et l’autre sur la ville de La Paz en Bolivie.

Atelier sur le Sénégal

Nous avons appris que 1 personne sur 10 est salariée au Sénégal, et que 30% à 40% de la population sénégalaise sont des agriculteurs ; en comparaison, la France n’a que 3% à 4% de sa population à être agriculteur.

Pourtant, 1 année sur 3, la récolte sénégalaise est mauvaise. Il y a souvent des sécheresses, les agriculteurs n’ont donc pas assez d’eau pour arroser leurs cultures, et il y a aussi régulièrement des invasions de crickets qui mangent les récoltes.

La pêche est l’un des secteurs les plus importants au Sénégal car de nombreuses espèces de poissons vivent au large des côtes sénégalaises. Le problème est que la pêche est de plus en plus difficile. En effet, de nombreuses entreprises étrangères envoient des chalutiers pêcher sur les mêmes côtes, et cela crée de la sur-pêche, il n’y a donc plus assez de poissons pour tout le monde.

Au Sénégal, l’un des modes de transports principaux est le taxi. Pourtant, il y a quelques bus. Une personne nommée « l’Apprenti » est sensée s’accrocher à l’échelle qui se situe à l’arrière du bus et elle tape sur le capot du véhicule lorsque quelqu’un veut monter dans le bus, et lorsque les passagers sont montés et qu’ils sont prêts à repartir. L’Apprenti doit apprendre à conduire en regardant les manoeuvres du chauffeur.

Le conférencier nous a aussi expliqué que les enfants avaient souvent trois moyens de transports pour aller à leurs écoles. Le premier moyen est de prendre le bus se rendant dans la ville de leur école, mais il n’est pas rare que ces bus ne desservent pas les villages des élèves. Leur second choix, est d’aller en ville avec une connaissance qui travaillerait dans la même ville. Mais si un enfant n’a ni bus ni connaissance allant en ville, il doit aller à l’école à pied.

En général, les classes sont formées d’à peu près 80 élèves.

Il n’est pas rare qu’un sénégalais fasse plusieurs métiers car il n’y a pas comme en France de droits sociaux.


Atelier sur une ville en Bolivie, La Paz

Le thème portait sur les risques dans une ville d’Amérique latine.

Nous avons appris que c’était un pays vaste sans beaucoup d’habitants . Le site de La Paz est en altitude dans une cuvette aux versants abrupts : quand il pleut, ce sont des torrents d’eau qui dévalent sur les pentes.

Les glissements de terrains et les inondations sont fréquents dans la région. On nous a aussi expliqué que les autorités étaient concentrées sur les conséquences : route coupée qui pourrait être un problème en cas d’évacuation, électricité coupée pour les hôpitaux en cas
d’inondation.

En conclusion :

Nous n’avons malheureusement pas eu le temps de manger sur place car le temps était mauvais. Nous avons mangé en vitesse dans la cour puis nous sommes retournés en cours.

Compte rendu de Céleste Langrée et Colombe Stevens, 4e1

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