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L'actualité de l'École alsacienne
Les billets de septembre 2017
Les nouveautés de la rentrée au CDI du Grand Collège
article publié par Romain Borrelli, le 29 septembre 2017.
Lire l'article / Le Grand collège

Le CDI est heureux de vous présenter ses nouvelles acquisitions de la rentrée, que vous pouvez également retrouver sur notre catalogue en ligne.
Bonnes lectures pour cette nouvelle année scolaire !

Les documentalistes




Rappel : Vous pouvez consulter l’intégralité du catalogue du CDI sur notre catalogue en ligne !
Document(s) joint(s)
nouveaute_s_documentaires.pdf
29 septembre 2017
PDF / 483.4 ko
nouveaute_s_en_langue_e_trange_re.pdf
28 septembre 2017
PDF / 1.1 Mo
romans_adultes_et_lyce_ens.pdf
28 septembre 2017
PDF / 487.6 ko
nouveaute_s_pe_riodiques.pdf
28 septembre 2017
PDF / 438 ko
Le menu de la semaine 39-2017
article publié par Romain Borrelli, le 28 septembre 2017.
Lire l'article / Le menu

Vous trouverez ci-dessous le menu de la semaine du 25 au 29 septembre 2017.
Bon appétit !

Document(s) joint(s)
2017-39-le_menu_de_la_semaine.pdf
25 septembre 2017
PDF / 194.3 ko
2017-39-le_menu_de_la_semaine_-_menu_des_maternelles.pdf
25 septembre 2017
PDF / 192.2 ko
Journée de sensibilisation au handicap visuel
Lundi 25 septembre 2017 au Foyer du bas
article publié par Romain Borrelli, le 21 septembre 2017.
Lire l'article / L’Établissement
Document(s) joint(s)
affiche_handicap_visuel_du_25_septembre.pdf
21 septembre 2017
PDF / 273.9 ko
Le menu de la semaine 38-2017
article publié par Romain Borrelli, le 19 septembre 2017.
Lire l'article / Le menu

Vous trouverez ci-dessous le menu de la semaine du 18 au 22 septembre 2017.
Bon appétit, dans notre nouveau self !

Document(s) joint(s)
2017-38_le_menu_de_la_semaine_-_menu_des_maternelles.pdf
18 septembre 2017
PDF / 194.4 ko
2017-38_le_menu_de_la_semaine.pdf
18 septembre 2017
PDF / 192.6 ko
Ouragan Irma : nous avons besoin de vous
L’Ecole alsacienne relaye l’appel de la Croix-Rouge française
article publié par Romain Borrelli, le 11 septembre 2017.
Lire l'article / L’Établissement

URGENCE
L’ OURAGAN IRMA s’abat sur Saint-Martin et Saint-Barthélémy

L’ouragan Irma, d’une violence extrême et l’un des plus dévastateurs jamais enregistré sur la zone des Caraïbes a touché très gravement les îles de Saint-Martin et de Saint-Barthélemy. La préfecture, la gendarmerie et la caserne des pompiers ont été en partie détruites, ainsi que de nombreuses habitations. Saint-Barthélémy a également été touché. Les premières informations témoignent d’un lourd bilan et des dégâts matériels très importants.

La Croix-Rouge française est plus que jamais mobilisée pour venir en aide à la population mais nous avons besoin de votre aide !

Merci pour votre soutien sans vous nous ne pouvons agir,

Alfred Simon nous a quittés
Il fut professeur de philosophie à l’École de 1955 à 1980
article publié par P. de Panafieu, le 11 septembre 2017.
Lire l'article / L’Établissement

Critique de théâtre à la revue Esprit, biographe de Jean Vilar, Alfred Simon a été un professeur de philosophie exigeant, passionnant et éclairant. Jean-Marie Catonné qui fut son collègue lui rend ici hommage.

Nous avons appris, durant cet été, la mort d’Alfred Simon à l’âge de 94 ans. Il avait quitté l’Ecole il y a près de 40 ans, oublié des nouvelles générations, mais n’avait cessé de marquer de sa forte personnalité tous ceux qui l’avaient connu, aussi bien élèves que collègues. Alfred Simon fit partie, avec Jean Conilh, de ces intellectuels qui écrivaient dans la revue Esprit – dont il tenait la chronique théâtrale – que Georges Hacquard fit venir à l’École, loin des sentiers battus de la pédagogie. L’éducation y gagnait le peu qu’elle se moquait de perdre en conformisme académique.

Alfred Simon y enseigna la philosophie et les lettres de 1955 à 1980. Sa parole passionnée, une pensée exigeante et sa vaste culture ne laissaient personne indifférent. Il fut le premier, on l’oublie, à créer un Groupe d’art dramatique à l’École alsacienne. Combien d’entre nous ont suivis sur France-Inter les débats animés du Masque et la Plume auxquels il participa durant plus de vingt ans, ou le rencontraient l’été, lors de conférences au Festival d’Avignon ? Il enseignait par ailleurs l’histoire du théâtre à l’Ecole de la rue Blanche et fut visiting professor aux États-Unis.
Alfred Simon accompagna le renouveau théâtral de l’après-guerre avec le théâtre dit d’avant-garde d’un Samuel Beckett, et la mutation d’un nouveau public né de la décentralisation. Il fut partie prenante de l’aventure du TNP de Jean Vilar (dont il fut le premier biographe), puis de celle du Théâtre du Soleil d’Ariane Mnouchkine, jusqu’à interpréter un rôle d’inquisiteur dans son film Molière. Un théâtre populaire sans démagogie populiste, à l’écart du divertissement “bourgeois” et de l’engagement militant.
Outre des centaines de critiques dramatiques dans la revue Esprit, qui n’étaient pas de simples comptes-rendus journalistiques d’un soir mais autant de réflexions approfondies sur l’utopie du théâtre, et ses articles dans L’Express, il laisse une quinzaine d’ouvrages dont une édition du Théâtre complet de Molière en cinq volumes pour le Club français du Livre, un Molière par lui-même aux éditions du Seuil qui connut plusieurs traductions, un Beckett qui fit date et une biographie de Molière, Molière, une vie, repris en Points poche, qui lui valut le Prix du Syndicat de la critique de théâtre.
Avec Alfred Simon s’éteint sans doute un des derniers témoins d’une époque de l’histoire de l’École alsacienne qui fut celle de Georges Hacquard.

Jean-Marie Catonné

Post Scriptum.

Dans l’album du centenaire, en 1974, Alfred Simon avait donné le texte suivant :

« Carrefour Vavin, l’Observatoire, le jardin du Luxembourg — ... C’est vrai, il y a des lieux qui font signe de loin. L’essence même du quartier se poétise, flotte dans l’air. C’est plein de 14 juillet pour peintres des années folles, de manèges qui tournent en silence dans l’or de l’automne, de philosophes et de nonnes qui font crisser le sable des allées, de spectres qui occupent la rue comme des lycéens en colère, d’enfants qui jouent avec les marionnettes et de marionnettes qui se prennent pour des habitants. Il y a des dômes aux rondeurs tendres et des palais qui se regardent avec gravité dans le miroir des eaux.
Et puis ce triangle qui pointe vers la statue d’un maréchal d’empire, le sabre au poing.
Les immeubles du boulevard tournent ostensiblement le dos à la rue Notre-Dame-des-Champs « triste comme une porteuse de pain congédiée ». L’Ecole n’a pas pignon sur
rue. Ni portique à la grecque, ni jardin d’honneur à la française. Deux petits drapeaux
lèchent mélancoliquement la grisaille des murs et attendent sans fin la joyeuse lessive
d’un Monet ou d’un Dufy. Cette école s’est installée comme ça, modeste et fière, décidée à vivre toujours un peu au-dessus de ses moyens, à harmoniser les contraires,
parisienne et provinciale, spiritualiste et laïque, novatrice et traditionnelle. Elle est née
d’une blessure. Il lui en est resté longtemps une imperceptible raideur, un patriotisme,
un humanisme, un idéalisme que les danses rituelles de la grande démystification
moderne ont peu à peu refoulé dans un inconscient qui grogne parfois. Mais ceux-là mê
mes que l’envie prenait périodiquement de secouer un peu l’institution, n’ont jamais
voulu le faire qu’avec une très grande douceur, et le souci de ne pas casser, sous prétexte d’innover, ce qu’il y avait de plus précieux (et de plus fragile) dans son libéralisme intransigeant : le sens du dialogue, de l’échange, de la communication réciproque. Les pères fondateurs ne sont pas allés au bout de leur utopie. Ces Alsaciens exilés, ces protestants minoritaires, ont simplement voulu inscrire dans la trame du réel quotidien un lien de tolérance, de non-oppression, de non-conditionnement des consciences. L’École alsacienne n’a jamais prétendu être une abbaye de Thélème, ou un Summerhill, une utopie vivante. Elle est pourtant devenue, renonçant, non sans douleur, au mythe de la grande famille ouatée, un lieu d’innovation pédagogique, de socialisation vécue, d’humanisation têtue, fondé sur la confiance réciproque. Jamais elle ne fut davantage elle-même qu’en libérant la créativité individuelle et collective. On pourrait évoquer des expériences, non pas seulement tolérées mais encouragées, qui anticipèrent de loin, non seulement sur le mouvement pédagogique, mais sur le mouvement artistique ou théâtral moderne. Aujourd’hui, les réformes, les audaces, les innovations sont, dans ce vieux pays centralisateur, planifiées, programmées, contrôlées. L’École elle-même s’est ouverte
complètement aux contradictions et aux tensions du présent. Ses vieux murs ne la protè
gent pas du fracas de la rue, ni des atteintes de la vie. Les certitudes d’antan sont mortes et aux doutes d’aujourd’hui il manque la vitalité d’un Montaigne et d’un Descartes. Les hommes aspirent à une fête dont ils ont perdu le secret. Pas question de tricher avec les mots, avec les gestes, avec les visages. L’École alsacienne ne continue pas. Comme l’homme, elle en est toujours à son commencement.
Alfred Simon professeur de philosophie »

Document(s) joint(s)
fullsizerender_14.jpg
31 août 2017
JPEG / 35.2 ko
Ouverture de l’atelier de musique de chambre
article publié par Romain Borrelli, le 11 septembre 2017.
Lire l'article / Le Grand collège

Chers élèves, chers parents,

L’Atelier de Musique de Chambre lance sa 15ème rentrée en ouvrant ses portes à tous les musiciens de l’école - instrumentistes et chanteurs - qui souhaitent travailler et partager la scène en petit groupe : duo, trio, quatuor …

Il s’agit d’un lieu de rencontres et d’épanouissement de musiciens issus du Grand Collège, en cursus CHAM comme en cursus général.

La multitude des ensembles permet à chacun de s’exprimer pleinement quel que soit son niveau.
Le répertoire explorer - de la Renaissance à nos jours - est inépuisable et la rencontre de chaque ensemble avec une oeuvre du répertoire est une expérience toujours unique, comme le sont les 3 concerts annuels présentés et filmés sur la scène du théâtre dans des conditions quasi professionnelles.

Le soutien constant de l’école nous a permis de mettre à disposition des musiciens toujours plus d’instruments, ce qui permettra à certains de ne pas avoir à transporter leur instrument et de participer à l’Atelier dans de bonnes conditions même avec un instrument volumineux : plusieurs pianos (dont un nouveau piano dans la loge du théâtre pour pouvoir répéter indépendamment du cours), une harpe à table large de concert, des guitares et un nouveau violoncelle 3/4.

Chaque année, l’Atelier s’enrichit de nouveaux musiciens accueillis et stimulés par les plus anciens.
C’est donc avec enthousiasme que j’invite tous les jeunes musiciens qui aiment travailler en groupe à nous rejoindre pour cette nouvelle saison de partage musical !

Deux réunions d’information auront lieu les mardis 12 et 19 septembre au Petit Amphithéâtre à partir de 19H.

Durant la semaine du 11 septembre j’assurerai une permanence au théâtre tous les jours à 13H (hormis le mercredi), afin de répondre aux questions des élèves et des parents qui ne pourraient pas assister aux réunions du soir.

Je reste naturellement à votre disposition par mail ou au téléphone au 06 21 15 10 69.

En vous souhaitant une excellente rentrée !

Bien à vous,

Maria GIota

Document(s) joint(s)
pastedgraphic-3.tiff.pdf
8 septembre 2017
PDF / 1.1 Mo
atelier_pre_sentation_2017-2018.pdf
8 septembre 2017
PDF / 63.7 ko
dossier_inscription_atelier_2017-2018.pdf
8 septembre 2017
PDF / 119.1 ko

École alsacienne - établissement privé laïc sous contrat d'association avec l'État

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