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Le toréador est bien mort
Poésie au Petit collège
Le toréador
Il est mort
Le toréador
Il est mort
Le toréador
Il est mort sans que rien ne bouge
Sous sa cape rouge.
A part le taureau furieux
Qui le regarde d’un air glorieux
Après sa mort,
Le toréador.
Il est mort sans un « ollé » !
Sans que personne n’ait hurlé.
Le cher toréador,
Il est mort.
Mon château
Ce n’est pas Azay-le-Rideau
Mon joli château
Ce n’est pas Chambord
Ni un château-fort,
C’est un petit manoir
Que l’on admire le soir
Quand sur la brique rose
Un long rayon se pose.
Foi de printemps
Il ne fait pas toujours beau
Au printemps
Il ne fait pas toujours chaud
Dans le vent
De printemps.
Il ne fait pas toujours chaud
Au printemps.
Le vent souffle quelquefois
Et il fait froid.
Il ne fait pas toujours chaud
Au printemps.
Mon coeur
Quand je vois une fleur
Mon coeur, mon coeur
Pleure, pleure
De joie
Quand je vois une fleur.
Quand j’ai du bonheur
Mon coeur, mon coeur
Pleure, pleure de joie.
Quand j’ai du bonheur
Quand je ne sais que faire
Ma mère, ma mère
Rit de mon ennui
Quand je ne sais que faire.
par Fabrice Lilamand, (autrefois en) 7e2
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